| La Guerre, de Louise Ackermann | ||
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[...] Lire le poème La Guerre en entier sur Poetica.fr | ||
| Ariane, de Marie Krysinska | ||
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| [...] Ariane s’endort; Tandis que sur la mer complice, A l’horizon s’effacent Les voiles blanches des trirèmes. Elle dort. Les mélancoliques roses Nées sous les pleurs, Font albatréen son beau visage. Et sur ses bras nus, aux joyaux barbares, Frémissent les papillons d’ombre saphirine, Que projettent les sapins Dans le soir tombant. [...] Lire la suite du poème Ariane sur Poetica.fr | ||
| Etoile filante, Comète errante, de Nayah | ||
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| Dans l'océan universel Elles tressent leur toile Telle de petites fées du ciel Sèment leur poussière d'étoile [...] Lire la suite du poème Etoile filante, Comète errante sur TouteLaPoésie.com | ||
| Le Zèbre, de Robert Desnos | ||
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| Le zèbre, cheval des ténèbres, Lève le pied, ferme les yeux Et fait résonner ses vertèbres En hennissant d’un air joyeux. Lire la suite du poème Le Zèbre sur Un Jour, Un Poème | ||
| Dans La Forêt , de Victor Hugo | ||
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| [...] Oh ! le profond printemps, comme cela rend fou ! L’audace des moineaux sous les feuilles obscures, Les papillons, l’abeille en quête, les piqûres, Les soupirs, ressemblaient à de vagues essais, Et j’avais peur, sentant que je m’enhardissais. [...] Lire la suite du poème Dans La Forêt sur Poetica.fr | ||
| Saint Valentin, de Fatoumata Kane | ||
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| Rouge est la couleur du jour, La couleur du cœur, La couleur de l'amour Rouge est la couleur du jour, La couleur des fleurs, Des roses rouges et pulpeuses. Rouge est la couleur du jour, Celle de la preuve d'amour, Vraie ou fausse, elle est la couleur du jour. Rouge est la couleur du jour, Des habits, des cadeaux, des mots doux, Tout doit être rouge, si l'on doit, Même malgré soi, partager la fête de l'amour. Amour vrai, pur, faux, putride, tricheur ? Ce qui importe c'est de juste participer à L'élan de bonheur, de folie, de déni, de mensonges ! Rouge est la couleur du jour. Lire le poème Saint Valentin sur le site Femmes écrivains et Littérature africaine | ||
| Les Lilas et les Roses , de Louis Aragon | ||
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| O mois des floraisons mois des métamorphoses Mai qui fut sans nuage et Juin poignardé Je n’oublierai jamais les lilas ni les roses Ni ceux que le printemps dans les plis a gardés Je n’oublierai jamais l’illusion tragique Le cortège les cris la foule et le soleil Les chars chargés d’amour les dons de la Belgique L’air qui tremble et la route à ce bourdon d’abeilles Le triomphe imprudent qui prime la querelle Le sang que préfigure en carmin le baiser Et ceux qui vont mourir debout dans les tourelles Entourés de lilas par un peuple grisé [...] Lire la suite du poèmes Les Lilas et les Roses sur Poetica.fr | ||
| La Petite Note de Musique , de Colibri | ||
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| En ce temps-là, La musique n'avait pas de soucis, Chaque note avait sa place Sur la portée. Or, un jour Grand-père le "son" congédia La petite note"la". La musique fière ne soutint pas la petite note, Elle pouvait exister sans elle, "la" n'était pas indispensable... Alors la petite note s'en alla. Sans elle, tout alla de travers, Sur la partition, sa place vide laissait un trou... "Sol" devait sauter dans le vide Pour rejoindre "si", N'y arrivant pas il faisait des couacs et le "son" s'irritait. Le chef d'orchestre se désespérait, Les partitions faussées pleuraient, Il décida de rechercher la petite note "la", Il l'a retrouva tapie dans le placard à partitions. Sur la partition de la société, Chaque être est une petite note, Chacun doit découvrir, Sa signification pour équilibrer l'ensemble... | ||
| La Neige Rose des Cerisiers, de Marie Rêves | ||
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| J'aime voir la neige rose des cerisiers Qui poudre, délicatement tous les vergers. Là bas, se mirent les clochettes du muguet, Dans l'eau limpide du ruisseau tout guilleret. J'écoute, couchée dans l'herbe de la prairie, Vibrer, le solfège d'un rossignol épris. Sur l'azur, un loriot au plumage jauni, Emprunte l'habit d'Or du soleil de midi. Qu'il est doux le vibrato des ailes d' abeilles, Frôlant la soierie du coquelicot vermeil. J'entends le vent solfier dans les épis de blés. La vague du vent, courbe les tiges germées. Je hume l'odeur des foins coupés, bel été. Les cerises rougissent, vient le temps d'Aimer. | ||
| Le dragon d'écume , de Legende | ||
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| La légende raconte que depuis la nuit des temps, Dans la mer, sur les volcans, existent toutes sortes de dragons. Des bons, des sanglants, des petits ou des grands, Qui crachent le feu sur des princesses dans leur donjon. Des dragons sages qui dorment sur leurs trésors, Ou vont caresser les nuages de leurs ailes. Noirs ou bleus, quand leurs reines sont d'or; D'orient ou d'occident mais toujours éternels. Ils sont héros ou monstres des contes d'antan. Ils parlent par l'esprit ou par le coeur, Et détiennent dans leur âme le récit du temps, Nos rêves, nos héroic-fantasys, nos tendres peurs. Mais à tout ces mythes, je préfère le dragon d'écume. Né aux confins de la terre, dans la plus belle des forêts, Une nuit de pleine lune, hantée par la brume, Issu d'un oeuf de nacre enfanté par les fées. Un dragon d'écume, c'est si petit qu'un lutin Peut le retenir prisonnier de ses mains; Un dragon d'écume est si blanc de teint, Qu'un flocon de neige à coté semble tout brun. Crache-t-il des flammes? Souffle-t-il le zéphyr? Gentil, méchant, saurait-il t'effrayer? Vit-il sur les volcans ou dans sa grotte tel un triste sire? Rien de tout cela. Alors me diras-tu, quel intérêt? C'est que tu ne connais pas toute l'histoire, Tu ignores comment il est venu au monde Et combien sa robe de lune est nimbée d'espoir. Tu ne sais pas combien pour lui l'amour abonde. Car un dragon d'écume, cela nait d'un voeu d'enfant. Car un dragon d'écume, c'est une part de fabuleux, C'est comme un ami toujours là, toujours présent, Qui ôte tes malheurs de son sourire si précieux. Un dragon d'écume, c'est simplement le merveilleux, Qui permet aux enfants d'inventer chaque jour, Des aventures, des rires, des légendes et des jeux. Le dragon d'écume, ne cherche pas, c'est juste mon autre mot pour l'imagination... | ||
| Source : Le Dragon d'Ecume de Legende | ||
| Coeur en Cage, de EdenSky | ||
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| Mon corps est une cage, Mon coeur est prisonnier, Mon âme seule en a les clés. Mon corps est une cage, Je ne peux avancer, J'aimerais être avec ceux que j'aime, Et ne plus m'en soucier. Mon corps est une cage, Je ne peux respirer, Mon coeur est abimé, Par ce manque de liberté. Mon corps est une cage, Mon coeur est prisonnier, Je suis abimé, | Par ce manque de liberté. Mon corps est une cage, Personne pour me libérer, Je suis enfermé dans le doute et la peur, Peur d'être seul à jamais. Mon corps est une cage, Où je suis le seul prisonnier, Et m'empêche d'avancer, Dans un monde fermé. Je ne peux plus respirer, Je ne peux plus avancer, Mon coeur est enfermé, Seul mon âme en a les clés, Impossible de la trouver. | |
| Source : Coeur en cage de EdenSky | ||
